Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a livré, mardi, un discours varié à l’occasion de l’ouverture des travaux de la « Conférence nationale sur le plan de relance pour une économie nouvelle ».
Dans son intervention, Tebboune a eu à évoquer un sujet sociétal des plus fâcheux, lié à la dénonciation de responsables par le biais de lettres anonymes.
Clairement, le Président a tenu à balayer une pratique qu’il dit rejeter avec force, promettent le broyeur à ces écrits anonymes.
Seuls les faits délictuels de corruption et de blanchiment d’argent, consolidés, sont à prendre en considération, a-t-il laissé entendre.
Un tel message, délivré à l’heure où le Chef de l’Etat fait de la relance économique, hors hydrocarbures, son cheval de bataille, et où le capital humain s’avère primordial, a valeur de gage et d’assurance pour les cadres gestionnaires et une consécration définitive de la dépénalisation de l’acte de gestion.
Azzouz K.