En instruisant, mardi, son chef du gouvernement de régulariser les sites électroniques au plan admistrativo- juridique, le président de la République, donne l’impression de vouloir remettre les pendules à l’heure dans un secteur, baignant dans une parfaite cacophonie.
Précisément, l’instruction du chef de l’Etat tend à passer en revue les titres foisonnant sur le Net, déterminer ceux domiciliés en Algérie pour en faire les alter egos des supports médiatiques traditionnels.
En devoir, mais aussi en droit, Tebboune ayant mis en exergue que les journaux électroniques allaient bénéficier de la publicité publique, dans les limites autorisées par la loi.
Noufel Bousshaki