Moins d’une année après sa nomination, en grandes pompes, le Directeur Technique National (DTN), Rabah Saâdane, jette l’éponge.
En cause une incompatibilté d’humeur avec la FAF, à plusieur saillies. La plus patente est l’épisode humiliant qu’a vécu le désormais ex DTN et liè à sa participation, finalement avortée à la conférence, à Londres, de la la FIFA sur le Mondial 2018 à laquelle il devait assister en compagnie du sélectionneur nataional, Djamel Belmadi, le 23 du mois écoulé.
La tournure qu’a prise la situation autour de la procédure d’un visa pour l’Angleterre qu’il n’obtiendra finalement jamais, depuis la France où il se trouvait s’apparente après coup à une crasse qui ne dit pas son nom de la part de son employeur.
Mais cela ne constituait que la partie visible d’un imbroglio qui couvait depuis peu.
Plus précsément depuis la nomination de Djamel Belmadi à la tête des verts et tout récemment la décision du président de la FAF de confier le destin de l’Académie de la FAF à deux techniciens espagoles.
Si au premier chapitre, il faut encore rappeler qu’entre Saâdane et Belmadi, son ancien joueur dans les années 2000, il subsistait toujours un contentieux ‘’d’humeur’’ tenace, il est permis de croire que que Saâdane a dû retoquer, en vain, la venue de l’ancien numéro 10 de l’EN à la tête des verts et, pis, n’en avait aucunement été associé à la décision finale de son intronisation.
Un fait qui a estomaqué , de nouveau, Saâdane s’agissant de trancher sur les destineés de l’Académie- FAF.
Entre temps, Saâdane boira le calice, de l’humiliation, jusque la lie quand il s’est vu interdit de roder dans le voisinage de la sélection nationale au CTN de Sidi Moussa, où il a ses bureaux, quand cette dernière s’y regroupait.
De basses manœuvres en somme, venues sûrement dans le sillage de l’intransigeance, supposée ou réelle, de Belmadi de voir Saâdane rester loin des affaires de l’EN.
En tout état de cause, et faute de ne pas avoir observer, le conseil de «savoir quitter la table», Rabah Saâdane en prend pour son grade. Et le football national , encore plus !
Porté par un lobby médiatique assourdissant, durant les heures d’euphorisme, qu abusait du sufait et de la mystification, au détriment de la mesure et des questions de fond, le ‘’Cheikh’’ emprunte encore une fois ubne petite porte de sortie.
Pour autant, cela n’honore point la FAF version Khiedine Zetchi, pour laquelle le plus dur est à venir !
Azzouz K.