Restauration de l’autorité de l’Etat, lutte contre la corruption, guerre contre la bureaucratie, développement économique et social, retour de l’Algérie sur la scène internationale, le dossier de la mémoire : c’est quasiment une course contre la montre avec des batailles sous-jacentes partout.
En deux ans, dont plus de la moitié en régime pandémie, le président Abdelmadjid Tebboune a réussi, contre vents et marées, à bien tenir les lignes politiques qu’il s’est assignées à travers ses 54 engagements. Rien n’arrête le président Tebboune, qui se trouve engagé partout afin de bâtir cette nouvelle Algérie, avec un Etat fort et juste, capable de remplir toutes les fonctions nécessaires.
Le Président, fort de sa légitimité et de sa popularité, suscite aujourd’hui une immense espérance chez tous ceux qui rêvent d’une Algérie forte et prospère. Il est très facile de démontrer aujourd’hui, chiffres à l’appui, que beaucoup de réformes et de mesures ont été menées à bien malgré une bureaucratie qui se mue encore dans une posture destructrice.
D’ailleurs, le président Tebboune n’y va pas de main morte pour fustiger l’inaction et les fausses prudences d’une administration sclérosée qui a généré une économie mafieuse, une économie de corruption qui s’est développée et s’est fortifiée durant des années.
D’ailleurs, depuis l’avènement de l’ère Tebboune, il n’y a eu aucune affaire de corruption, le président de la République étant déterminé à libérer le pays de ce fléau. Cette bataille contre la corruption ne fait pas que des heureux, à commencer par l’ancienne puissance coloniale qui était en phase avec les destructeurs de l’Algérie.
Les intérêts économiques de la France ont toujours été protégés par le système bureaucratique algérien et les forces extraconstitutionnelles qui ont vendu l’Algérie en pièces-détachées aux lobbies français. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien que les relais médiatiques de ces lobbies français noircissent en permanence l’image de l’Algérie.
A croire qu’ils sont atteints de cécité, ils n’aperçoivent que les trains qui n’arrivent pas à l’heure, alors que de très nombreux trains arrivent bien à l’heure !
L’économie algérienne s’est redressée et s’est surtout affranchie de ces lobbies qui, soixante ans après, demeurent toujours hantés par le paradis perdu. Pourquoi persister à mentir en véhiculant l’idée que l’économie algérienne est en grosse difficulté, alors que la difficulté économique est perceptible dans cette France où la moitié de la population est dans un état de détresse sociale.
« 36% des français sont en difficulté financière et 20% sautent des repas », a déclaré un ancien ministre de l’industrie français dans une interview à une revue économique.
Le système politico-médiatique français n’a pas pris la mesure de la nouvelle donne en Algérie, ce qui alimente un fort ressentiment contre la France au sein du peuple algérien uni derrière son président et son armée.
R. N.